Voici quelques clichés souvenir des Açores. Ils arrivent avec retard mais je n'avais sur place aucune connexion suffisante pour les poster et puis il a fallu que je trie plusieurs gigas de photos. Il est est loin le temps où on rentrait de vacances avec deux rouleaux de diapositives...
A Terceira m'ont rejoint dans un premier temps Brigitte et Suzanne, Christian , sa fille Justine et sa nièce Anaïs sont arrivés un peu plus tard.
Comme vous le voyez un équipage de choc pour traînailler entre Terceira, Horta, Pico et Sao jorge par grand beau temps et un vent qui n'a jamais dépassé dix nœuds. Vous connaissez déjà ces îles que j'ai présentées lors de mon premier passage en 2011, je vais aller assez vite.
Nous sommes d'abord allés à Sao Jorge, mon île préférée.
Ici, le petit port de Calleta où nous ne sommes restés qu'une soirée :
Nous sommes restés un peu plus longtemps à Velas, la petite capitale de Sao Jorge où nous avons retrouvé José, le plus diligent des maîtres de port des îles. Nous avons passé le temps entre quelques courses, une grande visite en voiture et un apéritif de ponton :
La dérive alcoolique de notre jeunesse m'a alors consterné mais pas étonné :
Anaïs a mal accepté mes justes remontrances et a longtemps boudé :
Brigitte a resserré les boulons en nous entraînant dans des visites d'églises et de chapelles. Rien de tel pour redonner un cap à suivre à des jeunes perdus... Ici la chapelle de Santa Barbara :
Il est toujours surprenant de voir des églises aussi riches dans un endroit qui a été aussi pauvre. Pour le reste Sao Jorge n'a pas changé en deux ans. Les mêmes côtes de lave avec ici une vue sur le Pico :
les mêmes routes bordées d'hortensias :
les mêmes fajas :
De Sao Jorge nous avons pris le ferry pour Pico, l'île des baleiniers dont le volcan culmine à plus de 2000m
Les installation de traitement des baleines demeurées intactes sont devenues des musées :
Nous avons terminé par une petite visite au Pico :
La traversée pour Horta n'a pas été très ventée non plus :
Porto Pim et Horta vus du sud :
Horta et sa caldeira :
son phare en partie enfoui lors de la dernière éruption :
et surtout ses restaurants. A Porto Pim nous avons apprécié la spécialité locale, la cataplana, une sorte de pot au feu de poissons :
Nous sommes bien sur passé chez Peter, le bistro le plus connu de l'Atlantique nord :
Peter est mort depuis longtemps, son bistrot est devenu un site touristique obligé mais le cadre n'a pas changé.
Que dire d'autre de cette virée ? Ah si, les Açores c'est loin et c'est pour cela que c'est si bien :