Les Antilles c'est toujours un peu
pareil. On trouve des plages de rêve et des mangroves :
Les couchers de soleil sont somptueux :
On y croise une clientèle haut de
gamme tant par la culture que par la puissance financière :
Les marchés sont colorés :
Sur les iles anglaises l'habitat est
rustique mais l'influence impériale Victorienne est partout comme à
Antigua :
Comme chez nous la voiture a sa vraie
place, la première :
Partout les « boatboys » et
leurs crabes dressés font l'émerveillement des touristes :
Les iguanes ,sponsorisés par les
mairies comme aux Saintes, savent amuser et câliner le chaland :
La montée en puissance de l'industrie
aux Antilles françaises en ces temps de crise fait la fierté
légitime de nos gouvernants :
Malgré toutes ces merveilles il faut
avouer qu'on tourne un peu en rond. Sans vrais soucis techniques depuis
janvier, à part des réparations de voiles, je tourne à la version
fonctionnarisée du tour operator . Heureusement je ne suis jamais
seul et le ballet des visiteurs est bien rodé.
Voici ma première équipe de belges
Myriam, son frère Thierry et sa femme Dominique :
Ils ont été suivi par Corinne et
Rémi. Sur la photo ils semblent à l'aise à la mer :
Illusion et faux semblant ! Pour preuve
Corinne et son harnais capelé à l'envers. Quand à Rémi il a tout
d'un sosie albinos de Ray Charles jouant debout un solo sur son "air-piano"
Nous nous sommes
immergés dans la vie sociale locale. Nous voici par exemple à la
Sunday barbecue night organisée par les boatboys de Portsmouth en
Dominique, événement mondain qui n'a rien à envier aux plus folles
soirées de Saint Trop' :
Dominique a allumé le feu en dansant
lascivement avec la version locale de Michael Jackson :
Bref, une vie de folie. Il y même des
fois où on n'est pas couché à 22 heures, c'est vous dire …
Je termine par une première leçon de
créole. Comment écrit-on Saint Louis sur Marie Galante ?
Fallait y penser !